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état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
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état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
C'était hier soir en prime sur FR3 suivi d'un débat
Le reportage en infiltration fait froid dans le dos quand on connait le milieu soit comme patient ou comme soignant. Ces derniers sont en greve non pas pour des conditions de salaire mais pour des conditions de vie dignes pour leurs patients. Les patients sous contention depuis plusieurs années par manque de temps et de personnel. Pas de formation à poser une contention-----
La France qui exile ses malades en Belgique à 180 euros la journée alors que le prix de journée en Belgique tourne autour de 30 eurosCherchez l'erreur------
Le débat ne m'a rien apporté. La ministre médecin hospitalier de son état sait mais fait avec les crédits que l'on veut bien lui allouer et force est de constater que cela remonte à la loi hospitaliere de 1983----
Les aidants et les personnels font des constats
A regarder c'est pas trash mais c'est inhumain au pays des droits de l'homme
Le reportage en infiltration fait froid dans le dos quand on connait le milieu soit comme patient ou comme soignant. Ces derniers sont en greve non pas pour des conditions de salaire mais pour des conditions de vie dignes pour leurs patients. Les patients sous contention depuis plusieurs années par manque de temps et de personnel. Pas de formation à poser une contention-----
La France qui exile ses malades en Belgique à 180 euros la journée alors que le prix de journée en Belgique tourne autour de 30 eurosCherchez l'erreur------
Le débat ne m'a rien apporté. La ministre médecin hospitalier de son état sait mais fait avec les crédits que l'on veut bien lui allouer et force est de constater que cela remonte à la loi hospitaliere de 1983----
Les aidants et les personnels font des constats
A regarder c'est pas trash mais c'est inhumain au pays des droits de l'homme
ArthéniceMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
J'ai regardé ça fait droid dans le dos...
ChristopheFondateur de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
J'ai raté, c'est dommage mais en même temps ce n'est pas plus mal...
DamkipikMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
J'ai commencé, mais je n'ai pas pu continuer, ça m'a mis mal à l'aise dès le départ cette situation.
DoMiAdministratrice
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
moi j'ai arreté ma carriere en psy suite à une agression avec tentative de viol un week-end de garde seule aux urgences alors que j'étais seule là ou nous aurions dû etre 3.
Je venais de prévenir la sécurité (d'anciens de la BSPP) que le ptit dej était pret donc j'ai pas paniqué mais je me suis défendue. Les gaillards m'ont sortie de là Et j'ai négocié mon départ car je me suis sentie incapable d'y retourner et en plus il était de la famille d'un politique donc la direction n'a pas marchandé.
Je venais de prévenir la sécurité (d'anciens de la BSPP) que le ptit dej était pret donc j'ai pas paniqué mais je me suis défendue. Les gaillards m'ont sortie de là Et j'ai négocié mon départ car je me suis sentie incapable d'y retourner et en plus il était de la famille d'un politique donc la direction n'a pas marchandé.
ArthéniceMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
Moi j'ai regardé en me sentant très concernée. J'ai fait une grosse dépression nerveuse avec psychose traumatique après l'incendie de ma maison en 2005. A cette époque j'ai été hospitalisée trois semaines en HP. Ce fut édifiant et je ne regrette pas l'expérience d'un point de vue humain. J'ai côtoyé des personnes atteintes de diverses pathologies (certaines assez graves), des alcooliques et des camés en cure de désintoxe. J'ai énormément échangé avec eux et mon regard sur les malades mentaux a bien évolué. Par contre, nous étions tous laissés à nous mêmes en dehors des repas et de la distribution des cachetons.
Aucun suivi par le psychiatre que je n'ai rencontré que deux fois très succinctement. Ce qui ne l'a pas empêché de me coller des neuroleptiques et antidépresseurs.
J'avais l'immense chance d'être libre de sortir. Heureusement, car sinon, je pense que je serais devenue cinglée !
En fait, il m'est clairement apparu que n'importe qui à un moment de sa vie peut basculer. Et ça fout bien les jetons !
Aucun suivi par le psychiatre que je n'ai rencontré que deux fois très succinctement. Ce qui ne l'a pas empêché de me coller des neuroleptiques et antidépresseurs.
J'avais l'immense chance d'être libre de sortir. Heureusement, car sinon, je pense que je serais devenue cinglée !
En fait, il m'est clairement apparu que n'importe qui à un moment de sa vie peut basculer. Et ça fout bien les jetons !
RoxaneMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
c'est dur du coté patients et du coté soignants. Ce que je reproche à certaines équipes c'est de passer leur temps en réunionites aigues au détriment du soin et de la prise en charge
Bravo de t'en etre sortie apres ce que tu as vécu mais en HP tu devais etre en placement libre je suppose
Bravo de t'en etre sortie apres ce que tu as vécu mais en HP tu devais etre en placement libre je suppose
ArthéniceMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
Oui, j'étais en placement libre, heureusement.
Par contre, je t'avoue qu'en terme de prise en charge, cela frisait le néant.
Aucune communication avec les "soignants", qui faisaient plutôt office de gardiens qu'autre chose. Je me garderai bien de tous les cataloguer ainsi et d'en faire une généralité bien sûr, mais dans l'unité de soins où je me suis trouvée, le personnel ne faisait pas grand cas de nous.
Par contre, je t'avoue qu'en terme de prise en charge, cela frisait le néant.
Aucune communication avec les "soignants", qui faisaient plutôt office de gardiens qu'autre chose. Je me garderai bien de tous les cataloguer ainsi et d'en faire une généralité bien sûr, mais dans l'unité de soins où je me suis trouvée, le personnel ne faisait pas grand cas de nous.
RoxaneMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
J'ai fait aussi quelques séjours en HP, en hospitalisation volontaire. Heureusement les deux hôpitaux que j'ai fréquentés ne ressemblaient pas à ceux de ce reportage. Il y avait tout type de patients, mais je n'ai assisté à aucune crise, aucune violence. Par contre effectivement le personnel était plus que débordé et ne s'occupait pas trop de nous.
J'ai fréquenté un hôpital public, et un hôpital des armées.
Dans le premier, il y avait certains après midi des séances d'ergothérapie dans lesquels un/e animateur/trice essayait de nous occuper. Ça pouvait être en nous faisant faire des coloriages, travailler le cuir, ou bien même une fois faire des crêpes ! Lors de mon premier séjour l'animateur était jeune et motivé et nous poussait à faire des choses. Lors d'un autre, c'était une femme démotivée qui faisait du café et basta. Elle s'occupait elle dans son coin en fabriquant des objets (que l'hôpital revendait ensuite) mais elle ne nous proposait rien d'autre que son café (qu'il fallait payer, au passage).
Il y avait effectivement beaucoup de réunionite. Entre soignants beaucoup (je me demande ce qu'ils pouvaient se dire sur nous vu qu'ils nous voyaient peu ...). Mais aussi la réunion du lundi avec des tas et tas de gens. Lors de mon premier séjour on m'a envoyée là dedans, j'étais mal alors j'ai pas posé de questions avant d'y aller, on me disait "allez là" et j'y allais. Tu te retrouves devant une 20aine de personnes, tu sais pas qui c'est, et un médecin, tu sais pas qui c'est non plus, te demande de parler de toi, te pose pleins de questions. T'as pas envie de te confier devant 20 personnes qui prennent des notes et enchainent patient sur patient !!!! Bref les fois d'après j'ai refusé d'aller à ce genre de trucs. Autre réunion hebdomadaire : entre tous les patients (en état), le responsable du service, deux infirmier(e)s, et il s'agissait de dire ce qui ne va pas dans le service. Ben heu qu'on ne voit pas tellement les médecins. "Eh oui madame on fait ce qu'on peut mais vous pouvez vous adresser aux infirmier(e)s". Ben non à chaque fois ils sont occupé(e)s. "Oh mais non vous exagérez". Bon d'accord ....
Je voyais le psy deux fois : quelques jours après mon arrivée (très rapidement, je dois avouer, le premier jour si c'était pas un weekend), et le jour où tu le demandes quand tu dis que tu veux sortir.
A l'hôpital des armées, il y avait plus de moyens. Des activités tous les jours (sauf les weekends) : ergothérapie sérieuse (j'ai fait des coloriages quand je n'étais pas en forme, ça vide la tête et c'est simple, des bracelets brésiliens, des cartes en relief que tu découpes au cutter (je ne sais plus comment ça s'appelle, vous voyez ce que je veux dire ?) (là on est vachement surveillé à cause du cutter), des dessins que tu recouvres de tissu, des dessins que tu recouvres de sables de couleur, etc), des séances de parole collective (par exemple une fois il s'agissait dans un premier temps de découper dans des journaux des choses qui parlent de soi, d'en faire un collage, et dans un deuxième temps on le montrait aux autres et expliquait nos choix, il y avait des échanges entre patients, c'était un vrai travail), des séances de gym, des séances simplement de danse sur de la musique, etc. J'ai même passé un test de Rorschach. Aussi une fois par semaine, ou tous les 15 jours, je ne sais plus, une sortie à l'extérieur, bien encadrée, une petite rando en bord de mer, une balade plutôt, car peu sont en état de marcher longtemps. Bref, c'était assez riche niveau soins.
Mais bon à chaque fois ces séjours m'ont fait du bien, même à l'hôpital public malgré le peu de soins. Savoir qu'il y avait quelqu'un "au cas où" me faisait déjà du bien.
J'ai fréquenté un hôpital public, et un hôpital des armées.
Dans le premier, il y avait certains après midi des séances d'ergothérapie dans lesquels un/e animateur/trice essayait de nous occuper. Ça pouvait être en nous faisant faire des coloriages, travailler le cuir, ou bien même une fois faire des crêpes ! Lors de mon premier séjour l'animateur était jeune et motivé et nous poussait à faire des choses. Lors d'un autre, c'était une femme démotivée qui faisait du café et basta. Elle s'occupait elle dans son coin en fabriquant des objets (que l'hôpital revendait ensuite) mais elle ne nous proposait rien d'autre que son café (qu'il fallait payer, au passage).
Il y avait effectivement beaucoup de réunionite. Entre soignants beaucoup (je me demande ce qu'ils pouvaient se dire sur nous vu qu'ils nous voyaient peu ...). Mais aussi la réunion du lundi avec des tas et tas de gens. Lors de mon premier séjour on m'a envoyée là dedans, j'étais mal alors j'ai pas posé de questions avant d'y aller, on me disait "allez là" et j'y allais. Tu te retrouves devant une 20aine de personnes, tu sais pas qui c'est, et un médecin, tu sais pas qui c'est non plus, te demande de parler de toi, te pose pleins de questions. T'as pas envie de te confier devant 20 personnes qui prennent des notes et enchainent patient sur patient !!!! Bref les fois d'après j'ai refusé d'aller à ce genre de trucs. Autre réunion hebdomadaire : entre tous les patients (en état), le responsable du service, deux infirmier(e)s, et il s'agissait de dire ce qui ne va pas dans le service. Ben heu qu'on ne voit pas tellement les médecins. "Eh oui madame on fait ce qu'on peut mais vous pouvez vous adresser aux infirmier(e)s". Ben non à chaque fois ils sont occupé(e)s. "Oh mais non vous exagérez". Bon d'accord ....
Je voyais le psy deux fois : quelques jours après mon arrivée (très rapidement, je dois avouer, le premier jour si c'était pas un weekend), et le jour où tu le demandes quand tu dis que tu veux sortir.
A l'hôpital des armées, il y avait plus de moyens. Des activités tous les jours (sauf les weekends) : ergothérapie sérieuse (j'ai fait des coloriages quand je n'étais pas en forme, ça vide la tête et c'est simple, des bracelets brésiliens, des cartes en relief que tu découpes au cutter (je ne sais plus comment ça s'appelle, vous voyez ce que je veux dire ?) (là on est vachement surveillé à cause du cutter), des dessins que tu recouvres de tissu, des dessins que tu recouvres de sables de couleur, etc), des séances de parole collective (par exemple une fois il s'agissait dans un premier temps de découper dans des journaux des choses qui parlent de soi, d'en faire un collage, et dans un deuxième temps on le montrait aux autres et expliquait nos choix, il y avait des échanges entre patients, c'était un vrai travail), des séances de gym, des séances simplement de danse sur de la musique, etc. J'ai même passé un test de Rorschach. Aussi une fois par semaine, ou tous les 15 jours, je ne sais plus, une sortie à l'extérieur, bien encadrée, une petite rando en bord de mer, une balade plutôt, car peu sont en état de marcher longtemps. Bref, c'était assez riche niveau soins.
Mais bon à chaque fois ces séjours m'ont fait du bien, même à l'hôpital public malgré le peu de soins. Savoir qu'il y avait quelqu'un "au cas où" me faisait déjà du bien.
SophieMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
Tu ne réponds que si tu le sens, sinon, tu zappes: Tu étais hospitalisée pour quelle raison ?
RoxaneMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
Dépressions à répétitions.
SophieMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
Merci d'avoir répondu Roxane
La psy (comme soignante) c'est là ou je me suis le moins épanouie.
Le triturage de neurones accompagné de cafés et de clopes à répétitions sans décision pour le patient c'est épuisant
J'ai aimé passionément la chirurgie "de guerre" réparatrice----j'ai aimé les soins palliatifs et la gériatrie
La psy (comme soignante) c'est là ou je me suis le moins épanouie.
Le triturage de neurones accompagné de cafés et de clopes à répétitions sans décision pour le patient c'est épuisant
J'ai aimé passionément la chirurgie "de guerre" réparatrice----j'ai aimé les soins palliatifs et la gériatrie
ArthéniceMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
Je conçois que la psychiatrie ne soit pas confortable pour les soignants. Ils ne peuvent s'autoriser l'empathie sous peine de se faire bouffer, alors que les patients sont souvent très demandeurs. Cela n'excuse pas pour autant l'indifférence glaciale de certains.
Ce que je trouve par contre déplorable, c'est que l'on mette ensemble des gens dépressifs avec des cas extrêmement limites.
Je me suis retrouvée dans une chambre avec une femme victime d'hallucinations, qui avait tenté d'étrangler sa mère.
Une nuit, je me suis réveillée et je l'ai surprise debout près de mon lit en train de me regarder fixement avec un regard des plus étranges. J'ai eu sacrément les jetons et autant vous dire que tant qu'elle a été dans la même chambre que moi, j'ai passé mes nuits à déambuler dans les couloirs à fumer clope sur clope !
Ce que je trouve par contre déplorable, c'est que l'on mette ensemble des gens dépressifs avec des cas extrêmement limites.
Je me suis retrouvée dans une chambre avec une femme victime d'hallucinations, qui avait tenté d'étrangler sa mère.
Une nuit, je me suis réveillée et je l'ai surprise debout près de mon lit en train de me regarder fixement avec un regard des plus étranges. J'ai eu sacrément les jetons et autant vous dire que tant qu'elle a été dans la même chambre que moi, j'ai passé mes nuits à déambuler dans les couloirs à fumer clope sur clope !
RoxaneMembre de BREZOLAND
Re: état des lieux de la psychiatrie : Emission "pieces à conviction"
Punaise ... la trouille Roxane, j ai déjà horreur de partager ma chambre à l'hôpital avec une personne normale, mais la ... brrrrrrr!!!



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