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Raoul Cauvin, le papa des Tuniques Bleues, est décédé
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Raoul Cauvin, le papa des Tuniques Bleues, est décédé
Le scénariste de bande dessinée Raoul Cauvin, créateur notamment des Tuniques Bleues et de Sammy, est décédé jeudi à l’âge de 82 ans, annoncent, vendredi, les Editions Dupuis.
En mai dernier, Raoul Cauvin avait annoncé sur son blog qu'il ne lui restait plus que quelques semaines à vivre. “L’oncologue est formel. Encore quelque mois à vivre avant d’aller là-haut, rejoindre tous ceux qui m’ont précédé. Fallait bien que ça m’arrive aussi un jour. Contrairement à certains, je n’ai pas voulu partir cash, créer la surprise... J’ai préféré prendre un peu de temps pour vous avertir. Voilà qui est fait... J’espère m’en être bien tiré... Bien à vous et tant que je peux encore le faire... vous dire... A+”.
Chance
Les éditions Dupuis ont transmis leurs pensées à son épouse Marie-Jeanne, à leurs deux enfants, Eric et Isabelle, ainsi qu’aux “millions de lecteurs qui ont adoré sa drôlerie et son comique de situation à travers la publication de ses séries”.
“Nous nous sentons chanceux d’avoir pu passer de bons moments avec lui et d’avoir encore le privilège de pouvoir continuer de faire découvrir tout le fruit de sa création", ont-elles ajouté dans un communiqué.
Symbole de la BD belge
C’est en 1968 que “l’homme aux cinquante millions d’albums” avait lancé, avec Louis Salvérius, Les Tuniques Bleues, une bande dessinée d’humour sur fond de guerre de Sécession qui deviendra l’un des best-sellers absolus de Dupuis, avec plus de quinze millions d’exemplaires vendus en français et d’innombrables traductions à travers l’Europe.
Génie d’une modestie inouïe, Raoul Cauvin est devenu une véritable statue de Commandeur des scénaristes. Populaire, irrésistiblement drôle, inattendu, capable de s’illustrer dans la majeure partie des univers qu’il s’est choisis, il a durablement codifié la mécanique du gag et les canons de l’aventure humoristique, séduisant plusieurs générations de lecteurs et vendant plus de 50 millions d’albums. Ses plus grandes séries sont d’ores et déjà rentrées au Panthéon de la bande dessinée, comme par exemple, Les Femmes en blanc, Pierre Tombal, L’Agent 212, Les Psy, Cédric, Boule et Bill sans bien sûr oublier Les Tuniques Bleues”, rappellent les Editions Dupuis.
Antoing pleure
C’est la sœur du disparu, toujours domiciliée à Antoing, qui a averti vendredi matin le bourgmestre Bernard Bauwens de la triste nouvelle. “Ce matin, j’irai déposer une gerbe à la mémoire de Raoul au pied de son totem et de son square inauguré en avril dernier au cœur de la place du Préau”, a indiqué ce dernier.
“Le 30 avril, avec les membres de sa famille, Raoul nous avait fait le plaisir de venir inaugurer ce square qui regroupe cinq fresques aux couleurs ses grands succès, soit Les Femmes en blanc, Pierre Tombal, Les Tuniques bleues, L’Agent 212 et Cédric”, se souvient le bourgmestre. “Ce jour-là, rien ne présageait dans son attitude qu’il était souffrant. Ce n’est qu’un peu plus tard qu’il a annoncé publiquement qu’il n’en avait plus que pour quelques mois à vivre. Nous sommes tristes”, a confié vendredi matin le bourgmestre d’Antoing.
Raoul Cauvin, sa biographie
Originaire d’Antoing, près de Tournai, où il naît le 26 septembre 1938, Raoul Cauvin est décédé jeudi à l’âge de 82 ans, des suites d’une longue maladie.
“Il est l’une des rares personnes à avoir suivi pendant cinq ans des études de lithographie publicitaire à l’Institut Saint-Luc de Tournai, pour découvrir en entrant dans la vie active que cette profession n’existait plus !”, se souviennent les Editions Dupuis.
Géant de la bande dessinée belge, celui qu’on appelait également l’homme aux 50 millions d’albums avait commencé sa carrière en 1960 aux éditions Dupuis pour y effectuer un travail de lettrage. Il évolue aux côtés de Piroton, Salvé, Jamic et Rosy avant de devenir caméraman au studio de dessins animés TVA. C’est en travaillant avec une caméra qu’il va se rapprocher de plus en plus du métier de scénariste. Il réalise notamment, à ses débuts dans le Neuvième Art, une douzaine d’épisodes des “Naufragés”, avec la dessinatrice parisienne Claire Brétécher.
Dès 1965, Cauvin apparaît au générique du journal Spirou.
Peu à peu, les dessinateurs se succèdent à la porte de ce scénariste auquel sont souvent associés aujourd’hui les qualificatifs de “prolifique” et “inépuisable”. Après l’humour tout public, il a évolué dans les années 1980 vers des productions plus proches de l’humour noir ou de la parodie.
On lui doit notamment les séries de “Godaille et Godasse” (avec Jacques Sandron), “L’Agent 212" (avec Daniel Kox), “Cédric” (avec Laudec), “Cupidon” (avec Malik), “Les Femmes en blanc” (avec Bercovici), “Les Paparazzi” (avec Luc Mazel), “Pauvre Lampil” (avec Lambil), “Pierre Tombal” (avec Marc Hardy), “Les Psy” (avec Bédu), “Sammy” (avec Berck) et “Taxi Girl” (avec Laudec). Les amateurs de zwanze savent aussi qu’il a imaginé les aventures du Poje, le célèbre cafetier bruxellois représenté par Louis-Michel Carpentier.
L’une de ses séries phares reste “Les Tuniques bleues” qu’il lance en 1968 avec Salvérius. A la mort de ce dernier, en 1972, c’est Lambil qui assurera le dessin de cette BD humoristique sur fond de Guerre de Sécession. Avec plus de 20 millions d’albums vendus en 50 ans, les Tuniques Bleues trônent parmi les séries les plus populaires de la BD franco-belge avec les indestructibles Astérix, Lucky Luke ou Spirou. A l’étranger, elles ont conquis des lecteurs fidèles aux Pays-Bas, en Allemagne et même un peu aux Etats-Unis.
Raoul Cauvin cherche, dans chaque album, à illustrer un aspect de la Guerre de Sécession, que ce soit une bataille célèbre, un acte héroïque ou désastreux, les joies et misères de la vie en garnison. “Je tiens beaucoup au contexte historique et à la présence de personnages réels, comme les célèbres généraux Grant ou Lee”, expliquait-il à l’AFP il y a quelques années.
En octobre 2019, Raoul Cauvin avait annoncé arrêter l’écriture des scénarios de la série, après quelque 64 albums des Tuniques Bleues. La parution de cet ultime titre auquel Cauvin avait participé, “Où est donc Arabesque” était prévue le 15 octobre, un an après la sortie du 65e album du duo Beka/Munuera qui a repris le flambeau.
Malgré la notoriété acquise par l’auteur, les éditeurs ne se sont pas bousculés pour publier son projet “Le Bâtard des étoiles” et c’est finalement via un financement participatif et la plateforme Sandawe que l’album était sorti en mars 2016.
Raoul Cauvin a remporté plusieurs prix pour son œuvre dont le Grand-Prix Saint-Michel de la bande dessinée en 2008. Plusieurs de ses héros sont statufiés, à l’image de l’Agent 212 à Middelkerke et des Tuniques bleues à Tamines.
“Le grand public est assuré de toujours trouver sous sa signature un album populaire et agréable à lire. C’est un don et il est extraordinaire qu’il ait pu l’exercer sur autant de séries parallèles, le contraignant à fournir la matière d’une bonne quinzaine de volumes par année”, écrit son éditeur historique, Dupuis, sur son site internet.
“Le divan, c’est mon outil de travail. Dans presque toutes les pièces de la maison il y en a un, ou quelque chose qui lui ressemble”, a-t-il confié un jour, cité par les Editions Dupuis. Le scénariste l’avouait humblement, comme le Psy dont il nous a conté les aventures, il ne pouvait réfléchir correctement que lorsqu’il était allongé. “D’ailleurs, je vous défie de penser les yeux ouverts !”, disait-il.
En mai dernier, Raoul Cauvin avait annoncé sur son blog qu'il ne lui restait plus que quelques semaines à vivre. “L’oncologue est formel. Encore quelque mois à vivre avant d’aller là-haut, rejoindre tous ceux qui m’ont précédé. Fallait bien que ça m’arrive aussi un jour. Contrairement à certains, je n’ai pas voulu partir cash, créer la surprise... J’ai préféré prendre un peu de temps pour vous avertir. Voilà qui est fait... J’espère m’en être bien tiré... Bien à vous et tant que je peux encore le faire... vous dire... A+”.
Chance
Les éditions Dupuis ont transmis leurs pensées à son épouse Marie-Jeanne, à leurs deux enfants, Eric et Isabelle, ainsi qu’aux “millions de lecteurs qui ont adoré sa drôlerie et son comique de situation à travers la publication de ses séries”.
“Nous nous sentons chanceux d’avoir pu passer de bons moments avec lui et d’avoir encore le privilège de pouvoir continuer de faire découvrir tout le fruit de sa création", ont-elles ajouté dans un communiqué.
Symbole de la BD belge
C’est en 1968 que “l’homme aux cinquante millions d’albums” avait lancé, avec Louis Salvérius, Les Tuniques Bleues, une bande dessinée d’humour sur fond de guerre de Sécession qui deviendra l’un des best-sellers absolus de Dupuis, avec plus de quinze millions d’exemplaires vendus en français et d’innombrables traductions à travers l’Europe.
Génie d’une modestie inouïe, Raoul Cauvin est devenu une véritable statue de Commandeur des scénaristes. Populaire, irrésistiblement drôle, inattendu, capable de s’illustrer dans la majeure partie des univers qu’il s’est choisis, il a durablement codifié la mécanique du gag et les canons de l’aventure humoristique, séduisant plusieurs générations de lecteurs et vendant plus de 50 millions d’albums. Ses plus grandes séries sont d’ores et déjà rentrées au Panthéon de la bande dessinée, comme par exemple, Les Femmes en blanc, Pierre Tombal, L’Agent 212, Les Psy, Cédric, Boule et Bill sans bien sûr oublier Les Tuniques Bleues”, rappellent les Editions Dupuis.
Antoing pleure
C’est la sœur du disparu, toujours domiciliée à Antoing, qui a averti vendredi matin le bourgmestre Bernard Bauwens de la triste nouvelle. “Ce matin, j’irai déposer une gerbe à la mémoire de Raoul au pied de son totem et de son square inauguré en avril dernier au cœur de la place du Préau”, a indiqué ce dernier.
“Le 30 avril, avec les membres de sa famille, Raoul nous avait fait le plaisir de venir inaugurer ce square qui regroupe cinq fresques aux couleurs ses grands succès, soit Les Femmes en blanc, Pierre Tombal, Les Tuniques bleues, L’Agent 212 et Cédric”, se souvient le bourgmestre. “Ce jour-là, rien ne présageait dans son attitude qu’il était souffrant. Ce n’est qu’un peu plus tard qu’il a annoncé publiquement qu’il n’en avait plus que pour quelques mois à vivre. Nous sommes tristes”, a confié vendredi matin le bourgmestre d’Antoing.
Raoul Cauvin, sa biographie
Originaire d’Antoing, près de Tournai, où il naît le 26 septembre 1938, Raoul Cauvin est décédé jeudi à l’âge de 82 ans, des suites d’une longue maladie.
“Il est l’une des rares personnes à avoir suivi pendant cinq ans des études de lithographie publicitaire à l’Institut Saint-Luc de Tournai, pour découvrir en entrant dans la vie active que cette profession n’existait plus !”, se souviennent les Editions Dupuis.
Géant de la bande dessinée belge, celui qu’on appelait également l’homme aux 50 millions d’albums avait commencé sa carrière en 1960 aux éditions Dupuis pour y effectuer un travail de lettrage. Il évolue aux côtés de Piroton, Salvé, Jamic et Rosy avant de devenir caméraman au studio de dessins animés TVA. C’est en travaillant avec une caméra qu’il va se rapprocher de plus en plus du métier de scénariste. Il réalise notamment, à ses débuts dans le Neuvième Art, une douzaine d’épisodes des “Naufragés”, avec la dessinatrice parisienne Claire Brétécher.
Dès 1965, Cauvin apparaît au générique du journal Spirou.
Peu à peu, les dessinateurs se succèdent à la porte de ce scénariste auquel sont souvent associés aujourd’hui les qualificatifs de “prolifique” et “inépuisable”. Après l’humour tout public, il a évolué dans les années 1980 vers des productions plus proches de l’humour noir ou de la parodie.
On lui doit notamment les séries de “Godaille et Godasse” (avec Jacques Sandron), “L’Agent 212" (avec Daniel Kox), “Cédric” (avec Laudec), “Cupidon” (avec Malik), “Les Femmes en blanc” (avec Bercovici), “Les Paparazzi” (avec Luc Mazel), “Pauvre Lampil” (avec Lambil), “Pierre Tombal” (avec Marc Hardy), “Les Psy” (avec Bédu), “Sammy” (avec Berck) et “Taxi Girl” (avec Laudec). Les amateurs de zwanze savent aussi qu’il a imaginé les aventures du Poje, le célèbre cafetier bruxellois représenté par Louis-Michel Carpentier.
L’une de ses séries phares reste “Les Tuniques bleues” qu’il lance en 1968 avec Salvérius. A la mort de ce dernier, en 1972, c’est Lambil qui assurera le dessin de cette BD humoristique sur fond de Guerre de Sécession. Avec plus de 20 millions d’albums vendus en 50 ans, les Tuniques Bleues trônent parmi les séries les plus populaires de la BD franco-belge avec les indestructibles Astérix, Lucky Luke ou Spirou. A l’étranger, elles ont conquis des lecteurs fidèles aux Pays-Bas, en Allemagne et même un peu aux Etats-Unis.
Raoul Cauvin cherche, dans chaque album, à illustrer un aspect de la Guerre de Sécession, que ce soit une bataille célèbre, un acte héroïque ou désastreux, les joies et misères de la vie en garnison. “Je tiens beaucoup au contexte historique et à la présence de personnages réels, comme les célèbres généraux Grant ou Lee”, expliquait-il à l’AFP il y a quelques années.
En octobre 2019, Raoul Cauvin avait annoncé arrêter l’écriture des scénarios de la série, après quelque 64 albums des Tuniques Bleues. La parution de cet ultime titre auquel Cauvin avait participé, “Où est donc Arabesque” était prévue le 15 octobre, un an après la sortie du 65e album du duo Beka/Munuera qui a repris le flambeau.
Malgré la notoriété acquise par l’auteur, les éditeurs ne se sont pas bousculés pour publier son projet “Le Bâtard des étoiles” et c’est finalement via un financement participatif et la plateforme Sandawe que l’album était sorti en mars 2016.
Raoul Cauvin a remporté plusieurs prix pour son œuvre dont le Grand-Prix Saint-Michel de la bande dessinée en 2008. Plusieurs de ses héros sont statufiés, à l’image de l’Agent 212 à Middelkerke et des Tuniques bleues à Tamines.
“Le grand public est assuré de toujours trouver sous sa signature un album populaire et agréable à lire. C’est un don et il est extraordinaire qu’il ait pu l’exercer sur autant de séries parallèles, le contraignant à fournir la matière d’une bonne quinzaine de volumes par année”, écrit son éditeur historique, Dupuis, sur son site internet.
“Le divan, c’est mon outil de travail. Dans presque toutes les pièces de la maison il y en a un, ou quelque chose qui lui ressemble”, a-t-il confié un jour, cité par les Editions Dupuis. Le scénariste l’avouait humblement, comme le Psy dont il nous a conté les aventures, il ne pouvait réfléchir correctement que lorsqu’il était allongé. “D’ailleurs, je vous défie de penser les yeux ouverts !”, disait-il.
CopernicAdministrateur
Re: Raoul Cauvin, le papa des Tuniques Bleues, est décédé
Je n'ai jamais lu les BD des tuniques bleues...
Frimousse73Membre de BREZOLAND
Re: Raoul Cauvin, le papa des Tuniques Bleues, est décédé
C'était sans doute plutôt pour les garçons Frimousse ! Et plus jeunes que nous vraisemblablement !!!!
DamkipikMembre de BREZOLAND
Re: Raoul Cauvin, le papa des Tuniques Bleues, est décédé
J'ai tous les "Tuniques bleues" chez mes parents. J'aimais beaucoup.
RIP.
RIP.
SophieMembre de BREZOLAND
Re: Raoul Cauvin, le papa des Tuniques Bleues, est décédé
Jamais lu non plus, j'étais plutôt Bob et Bobette ou les 4 As
kikidiMembre de BREZOLAND
Re: Raoul Cauvin, le papa des Tuniques Bleues, est décédé
Moi j'adorais les tuniques bleues, je les ai presque tous à la maison, il m'en manque peu, mais je les ai tous lu. Un monument de la BD Belge comme Hergé, Peyo, Roba nous a quitté.
CopernicAdministrateur
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