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Qui va déconfiner ?
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Re: Qui va déconfiner ?
Je vais aussi faire partie des "yaka, faux/consscoopy a écrit:Finalement le département ou j'habite a été requalifié en Vert comme 7 ou 8 autres départements...ça sent l'amateurisme..je me demande si les gens qui font ça sont suffisamment bien payés ?
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bon, efin bref, je rejoins l'avis de Christophe sur ce déconfinement (sur un autre topic il me semble), je ne suis pas trop optimiste et les enfants, surtout les petits, alors là encore bien moins ; ils n'arriveront pas à respecter TOUTES les mesures barrières et quand j'ai entendu qu'on leur supprimait tous les jouets à contact (ballon, patinette, vélos) dans la cour, mais alors que vont il faire ????
Ne peuvent pas jouer, ne peuvent pas se parler de près ou se toucher, je crains qu'ils ne soient un peu "marqués" par tout ça !!!!!!
Invité- Invité
Re: Qui va déconfiner ?
Et ils vont créer des brigades "d anges gardiens" pour ceux qui contracter aient le virus L'opération à pour nom "Josephine" espero s que ce ne soit pas une demi-mesure

ArthéniceMembre de BREZOLAND
Re: Qui va déconfiner ?
Ahn non, pas le prénom de ma grand'mère maternelle !
DamkipikMembre de BREZOLAND
Re: Qui va déconfiner ?
Il est une opération dont j'aimerais bien avoir des nouvelles ; elle a été baptisée " Discovery " ...elle consistait à tester de manière scientifique l'efficacité de 4 ou 5 traitements (ou médicaments) ...Pas de nouvelles ! soit c'est scientifiquement très sérieux et je suis quelqu'un de trop impatient , soit Discovéry , comme une certaine navette spatiale, a des soucis de fonctionnement....
scoopyMembre de BREZOLAND
Re: Qui va déconfiner ?
scoopy a écrit:Il est une opération dont j'aimerais bien avoir des nouvelles ; elle a été baptisée " Discovery " ...elle consistait à tester de manière scientifique l'efficacité de 4 ou 5 traitements (ou médicaments) ...Pas de nouvelles ! soit c'est scientifiquement très sérieux et je suis quelqu'un de trop impatient , soit Discovéry , comme une certaine navette spatiale, a des soucis de fonctionnement....
Vous ne pouvez pas vous imaginer depuis une semaine à quel point toutes ces revirements, contradictions ou autres me "prennent le chou" (j'ai une autre expression plus vulgaire) et surtout me stressent.
Notre pharmacie nous a tel, nous avons une boite de masques chirurgicaux (47 € les 50) que nous avions cdé il y a seulement 15 jours, alors vous imaginez la colère que je ressens quand certains soignants eux n'avaient pas le matériel nécessaire
Par ailleurs, les écoles, c'est une aberration pure et simple pour les enfants de 3/5 ans qui ne sauront pas respecter toutes ces mesures de sécurité trop heureux de se retrouver
Désolée, je n'ai pas répondu à votre interrogation car je n'ai pas la réponse, mais je me souviens vaguement en avoir entendu parler
Là, je voudrais être en Septembre prochain, car je ne présage rien de bon (question SANITAIRE, j'entends)
Hé, hé Mr Cristophe, je vous rejoindrais presque dans votre "coup de gueule"


Invité- Invité
Re: Qui va déconfiner ?
Coronavirus et essai Discovery : une coordination difficile entre pays européens
Par Raphaëlle de Tappie
Alors que les résultats de l’essai européen Discovery contre le Covid-19 sont annoncés pour le 14 mai par Emmanuel Macron, la coopération entre pays est très compliquée, déplore Yazdan Yazdanpanah, directeur du consortium à l'origine du projet, dans un entretien au journal Le Monde.
Coronavirus et essai Discovery : une coordination difficile entre pays européens GORODENKOFF/ISTOCK
Publié le 04.05.2020 à 18h00 | |
| |
Mots clés : essai cliniquediscoverycoronavirusCovid-19études
L'ESSENTIEL
L'essai européen Discovery doit tester 5 traitements potentiels pour soigner Covid-19
La France a quasiment recruté son quota de patients mais d'autres pays d'Europe sont à la traîne
Au final, cet essai pourrait s'appuyer essentiellement sur le panel français
“Chaque pays a travaillé pour lui, et on a beaucoup de mal à coopérer”. Alors que les résultats de l’essai européen Discovery, lancé le 22 mars par le consortium européen Reacting, pour comparer cinq traitements contre le Covid-19, dont quatre expérimentaux, sont très attendus -Emmanuel Macron a déclaré le 4 mai qu'ils pourraient être annoncés le 14 mai-, les choses ne se passent pas comme prévu. Dans un entretien au Monde, Yazdan Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Bichat (Assistance publique-Hôpitaux de Paris, AP-HP), membre des deux instances nommées par le gouvernement pour éclairer ses décisions sur le Covid-19, et directeur de Reacting, a déploré le manque de coordination entre les Européens dans lesquels l’essai devait être avoir lieu. Cette situation s’explique notamment par la forte concurrence dans les recherches contre le Covid-19. Rappelons que 1 605 essais cliniques ont actuellement lieu aux quatre coins du globe, dont 36 en France.
A l’origine, Discovery était censé être mené sur 3 200 patients dans huit pays européens : France, Espagne, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Luxembourg et Royaume-Uni. Cependant, d’autres Etats comme l’Italie et le Portugal ont également fait part de leur désir de s’y greffer. Dans le détail, les sujets suivis devraient être répartis en cinq groupes. Le premier groupe recevra des soins classiques, sans molécule expérimentale. Le deuxième se verra administrer le remdesivir, un antiviral expérimental initialement développé par l’américain Gilead contre Ebola qui vient d’être autorisé en urgences aux Etats-Unis par la FDA, et le troisième une combinaison de deux antiviraux, lopinavir/ritonavir (vendu sous le nom Kaletra), utilisé contre le VIH, tandis que le quatrième reprendra cette association, à laquelle a été ajouté l'interféron bêta, des molécules du système immunitaire. Enfin, le cinquième groupe testera l’hydroxychloroquine, avant ou après la mise sous oxygénation, développée en France par le professeur Didier Raoult.
Toutefois, si la France, où l’étude est coordonnée par l’Inserm, a recruté 730 patients sur son quota de 800, le processus traîne dans de nombreux pays européens qui devaient rejoindre l’aventure. Au Luxembourg, le premier patient, sur 60 espérés, n’a été recruté que le 30 avril tandis qu’en Allemagne, en Autriche ou au Portugal, “les discussions sont toujours en cours, car il y a d’autres protocoles développés localement, explique Yazdan Yazdanpanah. On rencontre des problèmes en raison des régulations différentes des essais cliniques selon les pays”, développe-t-il, rappelant l’importance “d’avoir un réseau européen pour disposer de résultats à grande échelle plus rapidement”.
“Nous ne lâchons pas”
Du côté du Royaume-Uni, si des cliniciens ont voulu rejoindre l’essai, “le National Health Service (NHS), qui coordonne la santé publique au Royaume-Uni, a décidé qu’il leur fallait rester sur un seul protocole”, explique Yazdan Yazdanpanah. L’Espagne et l’Italie ont quant à elles rejoint l’essai Solidarity, “lancé par l’Organisation mondiale de la santé à l’échelle internationale, avec des critères méthodologiques moins contraignants, mais sur les mêmes traitements”. Ainsi, tout n’est pas perdu : “On pourra mettre en commun les données essentielles de Discovery et de l’OMS, car les protocoles sont quasiment similaires”, assure Yazdan Yazdanpanah.
En Belgique enfin, les chercheurs qui espéraient pouvoir participer à Discovery ou à Solidarity n’ont pas pu le faire et s’inquiètent des conséquences pour leurs patients atteints du coronavirus. “Nous ne lâchons pas, insiste Yazdanpanah. Nous sommes en discussion avec la Commission européenne pour tenter d’améliorer les choses.”
Etonné l’urgence de la situation, les patients qui participent à Discovery sont au courant du traitement qu’ils reçoivent. Cet essai “a été conçu pour pouvoir s’adapter à l’évolution des connaissances sur la maladie. Si on doit arrêter un traitement parce que d’autres équipes auront montré qu’il ne fonctionne pas, nous le ferons”, précise le chercheur. Toutefois, c’est un comité spécifique international indépendant qui en décidera. Ce dernier s’est réuni “pour plusieurs points d’étape, à 100 patients, 400 et, bientôt, à 700 patients arrivés à 15 jours de traitement”, détaille-il.
On ignore encore la date des premiers résultats de l’étude
Quant à la date à laquelle les premiers résultats devraient tomber, “tout dépend des molécules testées”, explique Yazdanpana. “Si l’effet est mineur, il faudra avoir enrôlé beaucoup plus de patients pour pouvoir le mesurer que si l’efficacité est forte. Il faudra aussi tenir compte de la toxicité de ces molécules pour évaluer la balance bénéfice-risque”, conclut-il.
Si la coordination entre les pays européens n’est pas telle qu’on aurait pu l’espérer, tous les scientifiques ne désespèrent pas pour autant. “Le fait de travailler en équipe au niveau européen aurait pu permettre d’aller plus vite mais le fait que ce soit une étude essentiellement française ne va rien enlever à sa qualité et on aura des données très solides”, assure Stéphane Gaudry, professeur de médecine intensive réanimation à l'hôpital Avicenne de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à France 2.
En attendant d’en savoir plus, rappelons que les premiers vaccins contre le coronavirus, à l’étude notamment à l’Institut Pasteur, pourraient être testés sur des patients d’ici cet été.
Par Raphaëlle de Tappie
Alors que les résultats de l’essai européen Discovery contre le Covid-19 sont annoncés pour le 14 mai par Emmanuel Macron, la coopération entre pays est très compliquée, déplore Yazdan Yazdanpanah, directeur du consortium à l'origine du projet, dans un entretien au journal Le Monde.
Coronavirus et essai Discovery : une coordination difficile entre pays européens GORODENKOFF/ISTOCK
Publié le 04.05.2020 à 18h00 | |
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Mots clés : essai cliniquediscoverycoronavirusCovid-19études
L'ESSENTIEL
L'essai européen Discovery doit tester 5 traitements potentiels pour soigner Covid-19
La France a quasiment recruté son quota de patients mais d'autres pays d'Europe sont à la traîne
Au final, cet essai pourrait s'appuyer essentiellement sur le panel français
“Chaque pays a travaillé pour lui, et on a beaucoup de mal à coopérer”. Alors que les résultats de l’essai européen Discovery, lancé le 22 mars par le consortium européen Reacting, pour comparer cinq traitements contre le Covid-19, dont quatre expérimentaux, sont très attendus -Emmanuel Macron a déclaré le 4 mai qu'ils pourraient être annoncés le 14 mai-, les choses ne se passent pas comme prévu. Dans un entretien au Monde, Yazdan Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Bichat (Assistance publique-Hôpitaux de Paris, AP-HP), membre des deux instances nommées par le gouvernement pour éclairer ses décisions sur le Covid-19, et directeur de Reacting, a déploré le manque de coordination entre les Européens dans lesquels l’essai devait être avoir lieu. Cette situation s’explique notamment par la forte concurrence dans les recherches contre le Covid-19. Rappelons que 1 605 essais cliniques ont actuellement lieu aux quatre coins du globe, dont 36 en France.
A l’origine, Discovery était censé être mené sur 3 200 patients dans huit pays européens : France, Espagne, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Luxembourg et Royaume-Uni. Cependant, d’autres Etats comme l’Italie et le Portugal ont également fait part de leur désir de s’y greffer. Dans le détail, les sujets suivis devraient être répartis en cinq groupes. Le premier groupe recevra des soins classiques, sans molécule expérimentale. Le deuxième se verra administrer le remdesivir, un antiviral expérimental initialement développé par l’américain Gilead contre Ebola qui vient d’être autorisé en urgences aux Etats-Unis par la FDA, et le troisième une combinaison de deux antiviraux, lopinavir/ritonavir (vendu sous le nom Kaletra), utilisé contre le VIH, tandis que le quatrième reprendra cette association, à laquelle a été ajouté l'interféron bêta, des molécules du système immunitaire. Enfin, le cinquième groupe testera l’hydroxychloroquine, avant ou après la mise sous oxygénation, développée en France par le professeur Didier Raoult.
Toutefois, si la France, où l’étude est coordonnée par l’Inserm, a recruté 730 patients sur son quota de 800, le processus traîne dans de nombreux pays européens qui devaient rejoindre l’aventure. Au Luxembourg, le premier patient, sur 60 espérés, n’a été recruté que le 30 avril tandis qu’en Allemagne, en Autriche ou au Portugal, “les discussions sont toujours en cours, car il y a d’autres protocoles développés localement, explique Yazdan Yazdanpanah. On rencontre des problèmes en raison des régulations différentes des essais cliniques selon les pays”, développe-t-il, rappelant l’importance “d’avoir un réseau européen pour disposer de résultats à grande échelle plus rapidement”.
“Nous ne lâchons pas”
Du côté du Royaume-Uni, si des cliniciens ont voulu rejoindre l’essai, “le National Health Service (NHS), qui coordonne la santé publique au Royaume-Uni, a décidé qu’il leur fallait rester sur un seul protocole”, explique Yazdan Yazdanpanah. L’Espagne et l’Italie ont quant à elles rejoint l’essai Solidarity, “lancé par l’Organisation mondiale de la santé à l’échelle internationale, avec des critères méthodologiques moins contraignants, mais sur les mêmes traitements”. Ainsi, tout n’est pas perdu : “On pourra mettre en commun les données essentielles de Discovery et de l’OMS, car les protocoles sont quasiment similaires”, assure Yazdan Yazdanpanah.
En Belgique enfin, les chercheurs qui espéraient pouvoir participer à Discovery ou à Solidarity n’ont pas pu le faire et s’inquiètent des conséquences pour leurs patients atteints du coronavirus. “Nous ne lâchons pas, insiste Yazdanpanah. Nous sommes en discussion avec la Commission européenne pour tenter d’améliorer les choses.”
Etonné l’urgence de la situation, les patients qui participent à Discovery sont au courant du traitement qu’ils reçoivent. Cet essai “a été conçu pour pouvoir s’adapter à l’évolution des connaissances sur la maladie. Si on doit arrêter un traitement parce que d’autres équipes auront montré qu’il ne fonctionne pas, nous le ferons”, précise le chercheur. Toutefois, c’est un comité spécifique international indépendant qui en décidera. Ce dernier s’est réuni “pour plusieurs points d’étape, à 100 patients, 400 et, bientôt, à 700 patients arrivés à 15 jours de traitement”, détaille-il.
On ignore encore la date des premiers résultats de l’étude
Quant à la date à laquelle les premiers résultats devraient tomber, “tout dépend des molécules testées”, explique Yazdanpana. “Si l’effet est mineur, il faudra avoir enrôlé beaucoup plus de patients pour pouvoir le mesurer que si l’efficacité est forte. Il faudra aussi tenir compte de la toxicité de ces molécules pour évaluer la balance bénéfice-risque”, conclut-il.
Si la coordination entre les pays européens n’est pas telle qu’on aurait pu l’espérer, tous les scientifiques ne désespèrent pas pour autant. “Le fait de travailler en équipe au niveau européen aurait pu permettre d’aller plus vite mais le fait que ce soit une étude essentiellement française ne va rien enlever à sa qualité et on aura des données très solides”, assure Stéphane Gaudry, professeur de médecine intensive réanimation à l'hôpital Avicenne de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à France 2.
En attendant d’en savoir plus, rappelons que les premiers vaccins contre le coronavirus, à l’étude notamment à l’Institut Pasteur, pourraient être testés sur des patients d’ici cet été.
GelseyMembre de BREZOLAND
Re: Qui va déconfiner ?
Merci Gelsey, je comprends surtout que dans ce domaine aussi rien n'est simple , que la rigueur scientifique induit une très grande lenteur mais j'ai aussi l'impression que là encore la notion de collaboration européenne est synonyme de bordel...
Merci tout de même Gelsey !...on va attendre et espérer que ces milliards injectés dans la recherche ne l'auront pas été pour rien ...
Crilauzik ; garde le moral ; l'été arrive et le pire n'est jamais sûr ; certains "scientifiques" vont jusqu'àprévoir envisager , une disparition quasi inexpliquée du covid comme cela a été pour d'autres virus ..
et puis... bien sûr, et seulement si tu en as envie ;dans tes messages, tu peux me tutoyer ...je sais que je suis un vieux bonhomme , mais tout de même
Merci tout de même Gelsey !...on va attendre et espérer que ces milliards injectés dans la recherche ne l'auront pas été pour rien ...
Crilauzik ; garde le moral ; l'été arrive et le pire n'est jamais sûr ; certains "scientifiques" vont jusqu'à
et puis... bien sûr, et seulement si tu en as envie ;dans tes messages, tu peux me tutoyer ...je sais que je suis un vieux bonhomme , mais tout de même


scoopyMembre de BREZOLAND
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