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France : qui bénéficiera du tremplin des régionales pour la présidentielle de 2022 ?
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France : qui bénéficiera du tremplin des régionales pour la présidentielle de 2022 ?
A moins d’un an de la présidentielle française d’avril 2022, les élections régionales d’hier sont venues bousculer quelques certitudes. Elles ont fragilisé la position de la candidate d’extrême droite Marine Le Pen, considérée jusqu’à présent comme la seule rivale naturelle du président sortant. Elles ont confirmé qu’Emmanuel Macron ne pourra compter que sur ses propres forces pour assurer sa réélection. Et elles ont rendu un peu d’espoir aux formations traditionnelles, menacées d’estompement du paysage politique.
Tous les analystes le répètent : les Français ne votent pas de la même façon pour les élections régionales et pour la présidentielle. Avec deux tiers des électeurs qui ne se sont pas déplacés, ces régionale ont mobilisé moins que jamais, alors que la présidentielle est perçue comme l’enjeu majeur de la vie politique nationale.
Confirmation des partis au pouvoir
Le scrutin régional qui s’est tenu ces deux derniers dimanches donne néanmoins un aperçu du rapport de force entre les partis. On pouvait s’attendre à un vote de protestation, après la mobilisation du mouvement des gilets jaunes et les longs mois de mesures sanitaires frustrantes, c’est au contraire à une confirmation complète des partis au pouvoir des régions que l’on a assisté en France métropolitaine.
La droite et le centre conservent leurs sept fiefs (Auvergne-Rhône-Alpes, Normandie, Grand Est, Pays de Loire, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Ile-de-France, Hauts-de-France). La gauche reste aux commandes des cinq régions qu’elle pilotait déjà (Bretagne, Occitanie, Nouvelle Aquitaine, Centre-Val de Loire, Bourgogne-Franche-Comté), la Corse restant aux mains des nationalistes.
Le duel Macron – Le Pen perturbé
Cette continuité vient mettre du baume sur le cœur des partis traditionnels de gauche et de droite en plein doute existentiel. Les Républicains (LR) et le Parti Socialiste ont montré qu’ils comptaient toujours, au moins au niveau régional.
Ces résultats donnent même des ailes à la droite pour perturber le duel annoncé Macron – Le Pen. Candidat proclamé à la présidentielle, l’ex-LR Xavier Bertrand a largement remporté son pari dans les Hauts-de-France. Avec 52% des voix, il devance de loin son adversaire du Rassemblement National (RN). "Ce résultat me donne la force d’aller à la rencontre de tous les Français", a lâché Xavier Bertrand dès l’annonce des résultats, confirmant ainsi sa candidature à la présidentielle.
"Xavier Bertrand est celui qui s’est lancé tôt dans cette famille, même s’il n’est plus formellement membre des Républicains", analyse le politologue Roland Cayrol. "Il s’est affirmé et a creusé l’écart par rapport à ses principaux concurrents, notamment Valérie Pécresse. Ils étaient partis à égalité, 10-12% d'intentions de vote. Xavier Bertrand était mesuré à 16% avant les régionales, il est à présent à 18%. C’est pour lui que ces élections ont été les plus importantes, parce qu’elles arrivent à la fin d’un cycle où il s’était déjà affirmé."
Alors que la présidentielle de 2022 était annoncée comme un duel entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, Roland Cayrol estime que ces régionales ont changé la donne : "on commence à entrer dans une ère où il est possible de jouer un jeu non pas à deux, mais à trois".
Xavier Bertrand n’est pas le seul à droite à bénéficier de cet effet de levier des régionales pour afficher une ambition présidentielle : Laurent Wauquiez l’a emporté en Auvergne-Rhône-Alpes, et Valérie Pécresse en Ile-de-France. Le défi pour la droite sera de parvenir à s’unir derrière un candidat.
"Le succès de la droite est une illusion d’optique. Elle n’a pas de capacité à dégager ni un programme, ni un leader capable de mener une campagne présidentielle", juge Roland Cayrol. Le directeur recherche explique que Les Républicains ont dû prendre une décision "assez étrange et inhabituelle en Europe" pour départager les candidats de leur famille politique : "recourir à un laboratoire de science politique, celui auquel je suis rattaché (le Cevipof, Centre de recherches politiques de Sciences Po), pour lui demander de coordonner un grand sondage sur 15.000 personnes pour leur dire quelle personnalité est la mieux placée."
La gauche soulagée mais divisée
La question du meilleur candidat se poser également à gauche. Le Partis socialiste, réduit à peau de chagrin au niveau de sa représentation nationale, est soulagé de voir son implantation régionale confirmée. Concurrencés par La France insoumise, les communistes et les écologistes, les socialistes vont tenter de s’affirmer comme la force de gauche incontournable pour la présidentielle.
Mais chacun de ces mouvements prétend au rôle de rassembleur de la gauche. Pour Roland Cayrol, l’expérience de rassemblement de trois listes opéré en Ile-de-France n’a pas été convaincante : " Avec 34% au second tour, elles sont arrivées à faire l’addition de leurs voix du premier tour, mais pas à créer une dynamique qui rapporte plus. Ça aboutit à un échec."
La déception de Marine Le Pen
Le Rassemblement national sort bredouille des régionales : il échoue à remporter la première région de son histoire. C’est une vraie déception pour sa cheffe Marie Le Pen qui espérait enclencher une dynamique en vue de la présidentielle. Elle a cependant donné "rendez-vous aux Français, pour construire tous ensemble l’alternance dont la France a besoin".
Les sondages prédisaient une victoire au RN en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. La route du candidat d’extrême droite Thierry Mariani a été barrée par un Front républicain : le président sortant Renaud Muselier (LR) avait reçu l’appui de LREM dès le premier tour et a bénéficié pour le deuxième du retrait du candidat écologiste.
Quant au parti présidentiel La République En Marche (LREM), il n’a tout simplement pas pesé dans ce scrutin. Selon Roland Cayrol, l’absence d’implantation du parti est le résultat d’une volonté délibérée : "La République en Marche n’existe pratiquement pas comme parti parce qu’Emmanuel Macron n’a pas souhaité, dès 2017, que LREM soit autre chose qu’un club de supporters. Il a refusé la construction d’un parti avec un ancrage territorial, qui aurait préparé un programme et des candidats. Il avait gardé un trop mauvais souvenir du Parti socialiste. Quand lui-même était ministre et qu’il préparait sa loi Macron, il a affronté des députés frondeurs qui l’empêchaient de travailler. Il n’a pas voulu courir ce risque. Il le paie en n’ayant pas d’ancrage."
Quinze ministres étaient en lice pour ces élections régionales, dont certains ont réalisé des scores médiocres. De quoi faire de ces régionales "un coup de semonce très important pour la majorité", selon le patron du MoDem François Bayrou. Officiellement, aucun ministre ne devrait être sanctionné pour son résultat. Un remaniement limité pourrait néanmoins avoir lieu pour mettre le gouvernement en ordre de bataille avant la présidentielle.
Tous les analystes le répètent : les Français ne votent pas de la même façon pour les élections régionales et pour la présidentielle. Avec deux tiers des électeurs qui ne se sont pas déplacés, ces régionale ont mobilisé moins que jamais, alors que la présidentielle est perçue comme l’enjeu majeur de la vie politique nationale.
Confirmation des partis au pouvoir
Le scrutin régional qui s’est tenu ces deux derniers dimanches donne néanmoins un aperçu du rapport de force entre les partis. On pouvait s’attendre à un vote de protestation, après la mobilisation du mouvement des gilets jaunes et les longs mois de mesures sanitaires frustrantes, c’est au contraire à une confirmation complète des partis au pouvoir des régions que l’on a assisté en France métropolitaine.
La droite et le centre conservent leurs sept fiefs (Auvergne-Rhône-Alpes, Normandie, Grand Est, Pays de Loire, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Ile-de-France, Hauts-de-France). La gauche reste aux commandes des cinq régions qu’elle pilotait déjà (Bretagne, Occitanie, Nouvelle Aquitaine, Centre-Val de Loire, Bourgogne-Franche-Comté), la Corse restant aux mains des nationalistes.
Le duel Macron – Le Pen perturbé
Cette continuité vient mettre du baume sur le cœur des partis traditionnels de gauche et de droite en plein doute existentiel. Les Républicains (LR) et le Parti Socialiste ont montré qu’ils comptaient toujours, au moins au niveau régional.
Ces résultats donnent même des ailes à la droite pour perturber le duel annoncé Macron – Le Pen. Candidat proclamé à la présidentielle, l’ex-LR Xavier Bertrand a largement remporté son pari dans les Hauts-de-France. Avec 52% des voix, il devance de loin son adversaire du Rassemblement National (RN). "Ce résultat me donne la force d’aller à la rencontre de tous les Français", a lâché Xavier Bertrand dès l’annonce des résultats, confirmant ainsi sa candidature à la présidentielle.
"Xavier Bertrand est celui qui s’est lancé tôt dans cette famille, même s’il n’est plus formellement membre des Républicains", analyse le politologue Roland Cayrol. "Il s’est affirmé et a creusé l’écart par rapport à ses principaux concurrents, notamment Valérie Pécresse. Ils étaient partis à égalité, 10-12% d'intentions de vote. Xavier Bertrand était mesuré à 16% avant les régionales, il est à présent à 18%. C’est pour lui que ces élections ont été les plus importantes, parce qu’elles arrivent à la fin d’un cycle où il s’était déjà affirmé."
Alors que la présidentielle de 2022 était annoncée comme un duel entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, Roland Cayrol estime que ces régionales ont changé la donne : "on commence à entrer dans une ère où il est possible de jouer un jeu non pas à deux, mais à trois".
Xavier Bertrand n’est pas le seul à droite à bénéficier de cet effet de levier des régionales pour afficher une ambition présidentielle : Laurent Wauquiez l’a emporté en Auvergne-Rhône-Alpes, et Valérie Pécresse en Ile-de-France. Le défi pour la droite sera de parvenir à s’unir derrière un candidat.
"Le succès de la droite est une illusion d’optique. Elle n’a pas de capacité à dégager ni un programme, ni un leader capable de mener une campagne présidentielle", juge Roland Cayrol. Le directeur recherche explique que Les Républicains ont dû prendre une décision "assez étrange et inhabituelle en Europe" pour départager les candidats de leur famille politique : "recourir à un laboratoire de science politique, celui auquel je suis rattaché (le Cevipof, Centre de recherches politiques de Sciences Po), pour lui demander de coordonner un grand sondage sur 15.000 personnes pour leur dire quelle personnalité est la mieux placée."
La gauche soulagée mais divisée
La question du meilleur candidat se poser également à gauche. Le Partis socialiste, réduit à peau de chagrin au niveau de sa représentation nationale, est soulagé de voir son implantation régionale confirmée. Concurrencés par La France insoumise, les communistes et les écologistes, les socialistes vont tenter de s’affirmer comme la force de gauche incontournable pour la présidentielle.
Mais chacun de ces mouvements prétend au rôle de rassembleur de la gauche. Pour Roland Cayrol, l’expérience de rassemblement de trois listes opéré en Ile-de-France n’a pas été convaincante : " Avec 34% au second tour, elles sont arrivées à faire l’addition de leurs voix du premier tour, mais pas à créer une dynamique qui rapporte plus. Ça aboutit à un échec."
La déception de Marine Le Pen
Le Rassemblement national sort bredouille des régionales : il échoue à remporter la première région de son histoire. C’est une vraie déception pour sa cheffe Marie Le Pen qui espérait enclencher une dynamique en vue de la présidentielle. Elle a cependant donné "rendez-vous aux Français, pour construire tous ensemble l’alternance dont la France a besoin".
Les sondages prédisaient une victoire au RN en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. La route du candidat d’extrême droite Thierry Mariani a été barrée par un Front républicain : le président sortant Renaud Muselier (LR) avait reçu l’appui de LREM dès le premier tour et a bénéficié pour le deuxième du retrait du candidat écologiste.
Quant au parti présidentiel La République En Marche (LREM), il n’a tout simplement pas pesé dans ce scrutin. Selon Roland Cayrol, l’absence d’implantation du parti est le résultat d’une volonté délibérée : "La République en Marche n’existe pratiquement pas comme parti parce qu’Emmanuel Macron n’a pas souhaité, dès 2017, que LREM soit autre chose qu’un club de supporters. Il a refusé la construction d’un parti avec un ancrage territorial, qui aurait préparé un programme et des candidats. Il avait gardé un trop mauvais souvenir du Parti socialiste. Quand lui-même était ministre et qu’il préparait sa loi Macron, il a affronté des députés frondeurs qui l’empêchaient de travailler. Il n’a pas voulu courir ce risque. Il le paie en n’ayant pas d’ancrage."
Quinze ministres étaient en lice pour ces élections régionales, dont certains ont réalisé des scores médiocres. De quoi faire de ces régionales "un coup de semonce très important pour la majorité", selon le patron du MoDem François Bayrou. Officiellement, aucun ministre ne devrait être sanctionné pour son résultat. Un remaniement limité pourrait néanmoins avoir lieu pour mettre le gouvernement en ordre de bataille avant la présidentielle.
CopernicAdministrateur
Re: France : qui bénéficiera du tremplin des régionales pour la présidentielle de 2022 ?
Aux présidentielles, si aucun candidat ne s'engage fermement sur un programme qui répond réellement aux préoccupations de la majorité des Français, nous assisterons à la même déroute.
Les promesses de réformer la France ne suffiront pas cette fois-ci. Il faudra un programme précis et que les élus s'y tiennent...
Les promesses de réformer la France ne suffiront pas cette fois-ci. Il faudra un programme précis et que les élus s'y tiennent...
DamkipikMembre de BREZOLAND
Re: France : qui bénéficiera du tremplin des régionales pour la présidentielle de 2022 ?
Je ne peux pas tout lire cet article ...du moins pas maintenant . mais pour moi c'est X Bertrand qui tire le mieux son épingle du jeu ...il est m^me arrivé à paraître sympathique à une partie de l'électorat de centre gauche ...et puis il a infligé une belle claque au représentant du RN ...V.Pécresse ,a elle aussi marqué des points; c'est une femme et dans la course à la présidence c'est important pour un grand parti de droite ça peut rien que pour ça piquer des voix à M.Le Pen et puis présidente de la région Ile de France c'est quelque chose ..
scoopyMembre de BREZOLAND
Re: France : qui bénéficiera du tremplin des régionales pour la présidentielle de 2022 ?
A écouter ceux qui sont supposés savoir aucun des 3 Pecresse, Bertrand, Wauquier, du déjà vu. 2 noms émergent D. Isnard maire de Cannes et Baroin mais eux qu’en pensent-ils. Quelles seront les accusations portées à l’encontre de celui qui pourrait faire de l’ombre au roi. Xavier Bertrand dit qu’il a l’habitude que l’on se moque de lui, il n’a fait il l’ENA, ni science Po. On va même jusqu'à se moquerie ses chaussures des Mephisto, niveau cour d’école.
canelleModératrice
Re: France : qui bénéficiera du tremplin des régionales pour la présidentielle de 2022 ?
Le maire de Cannes a un parcours intéressant. Il me semble plus ancré dans la réalité que bien d'autres.
DamkipikMembre de BREZOLAND
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